Ambazac Audition : parce que bien en-tendre ne devrait pas être un luxe !
[caption id="attachment_228323" align="aligncenter" width="640"] Pierre Griffoul met en place une remise exceptionnelle de 40% jusqu’au 30 novembre ![/caption]
Un malentendant sur deux, qui devrait être appareillé et qui en est conscient, ne pousse jamais la porte d'un centre auditif, persuadé qu'il ne pourra pas financer cet achat. Il devrait pourtant le faire, comme nous l’explique Pierre Griffoul, audioprothésiste indépendant à Ambazac et Eymoutiers. La consultation, entièrement gratuite, permet d’obtenir des informations, un devis et de se rendre compte que les appareils auditifs sont accessibles à tous.
Lorsque l’on vous dit que les appareils auditifs sont onéreux, que répondez-vous ? Pierre GRIFFOUL – Je réponds que c’est une vision archaïque, qui ne tient nullement compte des évolutions de la technologie et de la diversification des gammes des grands fabricants. Autant, il y a dix ou vingt ans, l’argument pouvait être recevable, autant il ne l’est plus aujourd’hui. Avec les avancées technologiques et la production industrielle à grande échelle des composants, les appareils auditifs ont profité du même mouvement de démocratisation de leurs prix que les autres équipements high tech, télévision, téléphone mobile, ordinateur. Aujourd’hui, bien entendre n’est plus un luxe ! C’est une démarche raisonnée, qui permet à chacun de retrouver un vrai confort de vie.
C’est aussi un investissement incluant de nombreux services ? P.G. – Un appareil auditif a une durée de vie moyenne de 6 à 7 ans : l'amortissement doit donc être étalé dans le temps. Contrairement aux lunettes, il doit être contrôlé, révisé, cer-taines pièces changées et les réglages doivent être adaptés à peu près tous les 3 mois. Ce service après-vente, qui correspond à peu près à 30% du montant de l’achat de l'appareil, est inclus dès le départ dans le prix de vente : cela signifie que pendant toute la durée de vie de l'appareil, toutes les visites au centre auditif ne donnent lieu à aucune facturation (hormis l'achat des piles et des produits d'entretien).
Quels remboursements peut-on espérer de la part de la Sécurité Sociale et des complémentaires santé ? P.G. - Si les caisses d'assurance maladie remboursent de façon forfaitaire une somme que l'on peut qualifier de dérisoire (119,83 euros par appareil), les mutuelles, en revanche, ont fait de gros efforts pour prendre en charge entre 30 et 40% du prix total (selon les orga-nismes complémentaires et le contrat souscrit). En ayant passé un contrat avec la grande majorité d’entre elles, c'est à dire en acceptant leurs tarifs, je pratique le tiers payant : d’où un reste à charge, à régler par l’acquéreur, souvent bien moins important que ce que l'on pourrait croire.
[caption id="attachment_228321" align="aligncenter" width="640"] Des appareils auditifs enfin accessibles à tous.[/caption]Comment peut-on être sûr de ce que va réellement coûter l’achat d’un appareil ? P.G. – En réalité, ce sont désormais les mutuelles qui, le plus souvent, fixent le prix des appareils, ce qui est la garantie pour le patient de payer un prix plus juste. Dans mes centres, la transparence est totale et j’annonce clairement un tarif ferme et définitif. Lors-qu'un patient vient me voir, je lui remets un document qui mentionne : le prix des appa-reils, le remboursement de la caisse primaire, le remboursement de la mutuelle et le reste à charge à verser par l'assuré si, après une période d'essai gratuite, il décide de conserver ses appareils. Ce reste à charge peut être réglé en plusieurs fois sans frais, sans passer par un organisme de crédit.
Et pourtant, comme vous le faisiez remarquer, une personne malentendante sur deux ne pousse pas les portes d’un centre auditif… P.G. - Je le concède volontiers, trop de malentendants ne font pas cette démarche car ils demeurent encore rebutés par les frais occasionnés. Certaines personnes, lourdement handicapées, ne peuvent pas s'appareiller et c'est souvent un drame. Face à ce constat douloureux, j'ai décidé, durant tout le mois de novembre, de faire un effort exceptionnel en partenariat avec de grands fabricants, dont Siemens, le numéro un France : je propose donc une remise de 40% sur les appareils auditifs haut de gamme (voir encadré) !
Cette remise exceptionnelle porte sur le haut de gamme : existe-t-il des appareils moins chers ? P.G. – Effectivement, on trouve des appareils entre 700 € et 1000 €. Mais je me dois de mettre en garde les acheteurs : un appareillage est certes destiné à mieux entendre, mais surtout à mieux comprendre ; c'est là toute la difficulté, car les appareils à bas prix ampli-fient les sons (on entend plus fort), mais ne permettent pas une intelligibilité satisfaisante. Le résultat est souvent décevant et mieux vaut payer un peu plus cher pour disposer d’un matériel véritablement efficient.
[caption id="attachment_228322" align="aligncenter" width="640"] Les mutuelles ont fait de gros efforts pour prendre en charge ces équipements high-tech[/caption]Justement, que répondez-vous à ceux qui disent que, parfois, les appareils finissent dans un ti-roir ? P.G. - L'achat de prothèses auditives n'est pas une fin en soi. Encore faut-il que celles-ci soient contrôlées très régulièrement (tous les 3/4 mois). Trop de clients appareillés sont négligents et se soustraient à ces visites de contrôle régulières qui sont indispensables. Le réglage optimum d'un appareil est souvent un travail de longue haleine qui peut durer plusieurs mois. « Ca résonne », « Je comprends mal les gens à la TV », « Je ne com-prends pas au téléphone », sont des griefs que j'entends très souvent et qui doivent se résoudre lors d'entretiens entre le patient et l'audioprothésiste. Trop de personnes se dé-couragent vite et abandonnent leurs appareils dans un tiroir alors qu'une visite chez l'au-dioprothésiste règlerait le problème.
Au-delà du prix, la qualité du contact avec l’audioprothésiste est donc primordiale ? P.G. – Elle doit être optimum, afin d’offrir des solutions personnalisées et durables. J’ajouterais qu’une présence de proximité est-elle aussi indispensable, pour faciliter l’accession de toutes les populations, souvent âgées et résidant en milieu rural, à des équipements de qualité. Dans mes centres, au nombre de quatre en Limousin, dont deux en Haute-Vienne, je suis à la disposition de mes clients pour les guider dans leur choix et les orienter vers la solution la plus adaptée à leur situation personnelle.
4 CENTRES EN LIMOUSIN Ambazac Audition : 2, place du 19 Mars 1962 - 87240 Ambazac - Tél. 05.55.03.17.34 Eymoutiers Audition : 8, place Jean-Jaurès - 87120 Eymoutiers - Tél. 05.55.42.47.95 Bourganeuf Audition : 5, rue Zizim - 23400 Bourganeuf - Tél. 05.55.54.97.73 Treignac Audition : Rue du Dr Fleyssac - 19260 Treignac - Tél. 05.55.97.12.88
offre exceptionnelle !
Sur présentation de cet article, jusqu’au 30 novembre 2017 : remise exceptionnelle de 40% sur les appareils haut de gamme (hors embouts-produits d'entretien-chargeurs).
Voir conditions en point de vente.
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