Une Étincelle qui électrise le Futuroscope
Dès le 4 février, le Futuroscope propose une nouvelle attraction 4D « Étincelle, la malédiction de l'Opale noire », qui va permettre de suivre les aventures d'Alice, une super-héroïne française en proie à la vengeance de Ténèbre, un monstre terrifiant...
Encore une fois, le Futuroscope a remporté le pari audacieux d'une création familiale et originale, qui se démarque de la concurrence certes, mais également des autres attractions du parc.
Avec « Étincelle, la malédiction de l'Opale noire », les concepteurs ont souhaité mettre au grand jour un pan de l'histoire des super-héros français. En effet, quand on parle de super-héros, on pense immédiatement aux comics américains. Mais c'est oublier qu'au début du XXe siècle, des personnages aux super-pouvoirs et bien de chez nous ont été à l'origine du genre : Fantax, Félifax, Véga la magicienne, Monsieur Rien... Un bel imaginaire français dont l'existence a été censurée, effacée, gommée jusqu'en 1949. Le 16 juillet de cette année-là, les BD de super-héros, jugées violentes ou sujettes à caution scientifiquement, font l'objet de censure par les pouvoirs publics. Avec cette nouvelle attraction, le Futuroscope ravive aujourd'hui notre mémoire.
En trois temps
De la galerie des super-héros au préshow qui introduit l'histoire jusqu'à l'aventure finale, la succession d'espaces a été conçue comme les chapitres d'une histoire. Dès leur entrée, les visiteurs s'engagent dans la galerie des super-héros français, un parcours jalonné d'arches où se joue un show lumineux et musical au-dessus de leurs têtes. Pas à pas, ils déambulent devant une fresque d'illustrations murale qui emprunte les codes graphiques de la bande dessinée. L'intrépide justicier Fantax, l'homme tigre Félifax, Fulguros et ses pouvoirs électriques, Véga la magicienne... y figurent. Au cœur de cet espace se dresse la statue géante et menaçante de Ténèbre. Imaginé par le Futuroscope, ce monstre aux désirs maléfiques est l'un des protagonistes de l'aventure que vont vivre les visiteurs de l'attraction. Puis, ils pénètrent dans le Musée parisien des super-héros français. Face à eux s'étend une scène habillée de décors réels sur lesquels est projeté un mapping vidéo géant pour les immerger dans une scène du musée. Face à elle, les gradins qui s'étagent sur cinq niveaux permettent au public de bénéficier d'un large champ de vision sur l'action qui va s'y dérouler car c'est ici que l'histoire d'« Étincelle, La malédiction de l'Opale noire » va débuter.
Alice a volé le costume d'Étincelle, une super-héroïne française. Mais pouvait-elle imaginer que celui-ci lui donnerait les mêmes pouvoirs ? Pire encore, que sa ressemblance avec la super-héroïne allait faire renaître son pire ennemi, un monstre terrifiant assoiffé de vengeance depuis qu'Étincelle la justicière lui a pris l'Opale noire, une pierre aux super-pouvoirs. Alice, devenue Étincelle, parviendra-t-elle à empêcher Ténèbre de s'en emparer, lui qui ne pense qu'à faire basculer le monde dans une bande dessinée maléfique ?
Des technologies
au service de l'immersion
Le dispositif technologique repose sur la projection d'un film en 3D laser 4K combinant des images réelles et des images générées par ordinateur (CGI) associées à un système laser 3D dernier cri. Il permet d'ajouter l'esprit graphique de la bande dessinée avec des onomatopées au plein cœur de l'action, des effets de scintillements et des jaillissements de l'image 3D. De plus, des jeux de lasers sont projetés au plafond et sur les murs qui encadrent l'écran pour prolonger l'action du film dans la salle et envelopper les visiteurs dans l'aventure.
Le son, bénéficiant d'un système 7.1 et émis par 54 points de diffusion, révèle des détails sonores avec une clarté et une profondeur inégalée. Le son se déplace de l'avant à l'arrière, du sol au plafond et il est si précis qu'il donne au visiteur la sensation de se trouver au cœur de l'action.
De nombreux effets sensoriels accompagnent les mouvements de la plateforme. Des effets d'eau, de vents, de fumée, petits jets d'air, des legticklers (chatouillis) et des effets de flash lumineux et stroboscopiques sont synchronisés à la projection.
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