Huiles essentielles : attention aux contre-indications
[caption id="attachment_230539" align="aligncenter" width="800"] essential oils and medical flowers herbs[/caption] Pour beaucoup, l’utilisation d’huiles essentielles s’avère être un complément efficace à l’allopathie. Néanmoins, des contre-indications existent… Même si les vertus des huiles essentielles varient selon les régions (dans l’est de la France, 85 % estiment que l’aromathérapie est aussi efficace et dangereuse que l’allopathie alors que dans l’ouest, la majorité des gens pense qu’elle est inoffensive), leur utilisation, qui n’est pas soumise à prescription, ne doit pas se faire en auto-médication. Les conseils d’un professionnel de santé sont primordiaux pour éviter les « accidents » ou les « erreurs ». Ainsi, les huiles essentielles sont interdites chez les femmes enceintes, car elles peuvent passer dans le placenta et mettre en danger le fœtus. Cependant, une vingtaine d'entre elles peut être utilisée, à différents stades de la grossesse. Comme cela ne s'improvise pas, il est indispensable de demander l’avis d'un spécialiste pour y avoir recours et soigner ses petits maux du quotidien. Les mamans allaitant éviteront les HE car elles passent dans le lait. On ne prendra pas de risque non plus avec les enfants âgés de moins de 3 mois. Ensuite, il est nécessaire de diluer les huiles essentielles de façon importante dans de l'huile végétale puis de moins en moins jusqu'à l'âge de 7 ans, les précautions étant alors les mêmes que chez l'adulte. Enfin, les HE peuvent interagir avec certains traitements (hyper ou d’hypothyroïdie), avoir un effet délétère chez les personnes épileptiques, asthmatiques, ou altérer l'efficience d'un traitement homéopathique. Toutefois, employées à bon escient, les huiles essentielles peuvent accroître l’efficacité d’antibiotiques, d’anti-bactériens, d’antiviraux, d’antalgiques, de cicatrisants, et peuvent être utilisées aussi bien en curatif qu’en préventif.
0 commentaires